[Bastia] Stade Armand Cesari (16.078)
Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
pour vu quelle tienne la route,lol.
Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
La pelouse n'est pas prète mais va se faire détruire mercredi lors du match de coupe de France CA BAstia Brest.
http://www.corsematin.com/article/derni ... 78711.html
regardez sur la vidéo, elle ne tient même pas quand on la soulève.
http://www.corsematin.com/article/derni ... 78711.html
regardez sur la vidéo, elle ne tient même pas quand on la soulève.
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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
juste pour info, la bâche a été fabriquée à Saint Etienne, entreprise Grando.
Live David Gilmour - 17 sept 2015 Théâtre antique Orange
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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
La pelouse ce soir pendant le match de coupe de france CAB-Brest, elle a l'air d'avoir bien tenue le choc :


Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
Petite question aux supporters bastiais, le stade va t-il être équipé à court, moyen terme d'écrans géants?
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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
Rien de prévu à court terme...fanfan59 a écrit :Petite question aux supporters bastiais, le stade va t-il être équipé à court, moyen terme d'écrans géants?
http://www.sc-bastia.net/v4/?p=19291
Les vestiaires d’Armand Cesari en travaux
U 28 JAN 2013 da JN in FIL D'INFOS
Conformément aux marchés passés par la Communauté d’Agglomération de Bastia, les travaux de réfection de la zone vestiaires du stade Armand Cesari ont débuté. Après avoir réalisé une salle de presse l’été dernier, la deuxième tranche concerne la réalisation de nouveaux vestiaires d’arbitres, de toilettes publiques ainsi que des bureaux délégués et médecin.
La dernière étape (prévue pour juin) consistera elle en la rénovation totale des vestiaires bastiais et visiteurs, ainsi que l’aménagement de nouvelles zones.
Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
Le SCB va se doter prochainement d'un centre d'entrainement financé par le club pour 1 Million d'euros, le centre Jules Filippi fera 800m².


Keep Calm and Be Contexte
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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
Bonne nouvelle pour le club
Ils s'entrainent où actuellement ?
Jules Filippi c'était un ancien joueur, un ancien entraineur ou un ancien dirigeant du Sporting ?
Ils s'entrainent où actuellement ?
Jules Filippi c'était un ancien joueur, un ancien entraineur ou un ancien dirigeant du Sporting ?
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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
C'était l'ancien directeur sportif du Sporting, finaliste de la Coupe de l'UEFA 1978 contre le PSV Eindhoven.clausewitz a écrit :Jules Filippi c'était un ancien joueur, un ancien entraineur ou un ancien dirigeant du Sporting ?
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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
Merci de la réponse
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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
Cadeau !
http://www.sc-bastia.net/v4/?p=19682




Site Officiel SCB a écrit :Avà basta…
En juillet dernier, la Communauté d’Agglomération de Bastia, a sa seule initiative, procédait à la rénovation complète de la pelouse du stade Armand Cesari.
Au mois de décembre dernier, cette même collectivité donnait son accord pour un troisième changement de pelouse.
Récemment, à la veille du match PSG/SCB, Frédéric Hantz décidait d’amener ses joueurs pour une simple mise en place sur la pelouse de Furiani.
Quelle n’était pas notre stupéfaction 48 heures plus tard, lorsque nous recevions un courrier de la Communauté d’Agglomération de Bastia nous le reprochant et arguant du fait que cela pouvait engendrer des conséquences sur la tenue des futurs matchs.
Quels auraient été ses arguments si le Sporting avait joué ses matchs de Coupe de France et de championnat (CAB, Rennes et Evian TG) à domicile ?
De plus, reproche nous a été fait que l’argent dépensé aurait pu servir d’autres objectifs, sociaux ou culturels par exemple. Nous le déplorons également. Mais à qui la faute ?
Aujourd’hui même, notre entraineur décidait d’organiser une seconde mise en place sur le terrain d’honneur afin que nos joueurs reprennent leurs marques avant la tenue d’un match important. Quoi de surprenant après 3 mois d’absence ?
Quelle ne fut pas, une nouvelle fois, notre consternation lors de la visite d’un huissier de justice mandaté par la Communauté d’Agglomération de Bastia, qui de son propre aveu, se demandait la finalité de sa présence.
En réponse, le Sporting Club de Bastia a également procédé à un constat d’huissier de justice accompagné d’une expertise sur l’état de la pelouse.
À ce jour, nous sommes en mesure d’annoncer à 2 jours du match Bastia-Nice, (mais 45 jours après la rénovation de la pelouse) que le terrain de Furiani est à 70% non-enraciné, qu’il est gorgé d’eau à 90% et que l’arrivée des beaux jours verra la propagation massive de champignons.
L’ensemble de ces facteurs, nous en sommes certains, rendra le terrain de Furiani une nouvelle fois inutilisable et ce à très court terme.
Le Sporting Club de Bastia est las du harcèlement de la Communauté d’Agglomération de Bastia.
Il tend depuis 3 années maintenant vers l’excellence et le professionnalisme et souhaite donc que les composantes qui l’accompagnent, la Communauté d’Agglomération de Bastia en particulier, suive ce chemin.
Nous n’assumerons en aucun cas l’incompétence de ce chantier.
Forza Bastia, UNITI VINCEREMU !
PS : En espérant ne pas recevoir la visite d’un huissier de justice samedi soir à 20h devant 16 000 témoins.
http://www.sc-bastia.net/v4/?p=19682
- clausewitz
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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
A ce rythme là ils feraient mieux de mettre du synthétique 

"Le football ce n'est pas qu'une question de vie ou de mort, c'est beaucoup plus important que ça" (Bill Shankly)
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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
L'ancienne pelouse a tenu pendant je ne sais combien d'années et la 3 nouvelle pelouse qui prend pas, c'est quand même un comble !!
Malheureusement le synthétique va devoir s'imposer.....
Malheureusement le synthétique va devoir s'imposer.....

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Re: [Bastia] Stade Armand Cesari (16,000>23,000)
les Corses ont le sang chaud, c’est sûr.
Mais lors du derby Bastia – AC Ajaccio, une limite a été franchie. Une bagarre générale, cinq cartons rouges, des jets de pierre, des blessés. Une véritable intifada. La Ligue doit sévir, mais comment contenir ces enragés ?
Interrogé à ce sujet sur Yahoo Sports, Denis Balbir a trouvé la solution miracle : exclure les clubs corses du championnat de France. Seulement, un problème persiste : où délocaliser ces « tue l’amour » que sont le Sporting et l’ACA ?
- En Serie A
Rattacher les clubs corses aux compétitions italiennes, le Calcio en tête, serait la solution la plus logique.
D’abord de par la proximité géographique. Ajaccio n’est par exemple qu’à 430 bornes de Rome ou à 500 kilomètres de Cagliari.
Ensuite, la Corse est un peu comme la Savoie, à savoir un territoire que se sont disputé l’Hexagone et la Botte. Après l’administration par l’évêque de Pise, ce bout de terrain de presque 9 000 km² a ainsi appartenu à la République de Gênes de 1284 à 1735. Enfin, la langue locale est le fruit d’un savant mélange entre le latin et le toscan médiéval.
Alors envisager de rattacher la Corse du football à la Lega Pro, après tout... Et puis, les stades désuets de l’ACA et du Sporting - sans parler de Mezzavia – se fonderont parfaitement dans le décor, au milieu des baraques à frites que sont le stade Carlo-Castellano d’Empoli, Artemio-Franchi à Florence ou la Montepaschi Arena de Sienne.
Et puis bon, vous imaginez déjà ces ferries pleins à craquer pour un dép’ dans l’antre de la Samp’ ou du Genoa, fumis craqués par dizaines pour signaler l’arrivée des supporters au port. Autre chose que les voyages en train à rendre votre grand corps malade.
- En Premier League
Les liens entre la Corse et l’Angleterre ne datent pas du mariage de Darren Tulett.
En 1790, Pasquale Paoli, ancien chef de la nation corse indépendante, voit son exil en Grande-Bretagne prendre fin. Rallié à la République française naissante, il est nommé lieutenant-général et commandant de l’île. Mais les relations entre le « père de la Patrie » et la Convention se ternissent vite, et son arrestation est ordonnée. Paoli fait alors appel aux Britanniques qui boutent les Français hors de l’île et établissent avec les députés locaux un Royaume anglo-corse.
Si l’aventure ne tiendra que de 1794 à 1796, Pasquale Paoli sera inhumé à Westminster, et certains restent attachés à ce projet romanesque. Ainsi, rien ne s’oppose à ce que les clubs de l’île, réputés pour leur fighting spirit et leur excès d’engagement, rejoignent la Premier League. Yannick Cahuzac et Jean-Baptiste Pierazzi pourraient laisser parler leur science du tacle, et une partie du rêve de l’homme des Lumières se réaliserait enfin…
En contrepartie, la Ligue 1 récupérerait Arsenal et Newcastle, et tout le monde serait content.
- Dans un championnat des îles méditerranéennes
Les continentaux ne veulent plus de ces parasites insulaires ? Qu’importe, il y a tant d’espace à occuper ailleurs. Et quel espace !
« Homme libre, tu chériras la mer », disait Baudelaire. Bastiais, Ajacciens, Cortenais ou Bonifaciens le prennent au mot et projettent de lancer un nouveau championnat, mêlant les territoires de Mare Nostrum, cette bonne vieille Méditerranée que les Romains considéraient comme leur piscine. Un championnat international où on pourrait ainsi retrouver les Chypriotes de l’APOEL Nicosie, les Maltais du Valletta FC, les Grecs de l’OFI Crête, les Siciliens de Palerme, les Sardes de Cagliari, voire les Espagnols du Real Majorque et de Tenerife. Seul inconvénient, il faudra prévoir une date butoir pour ce championnat si l’on en croit Al Gore. Putain de montée des eaux...
- Dans un championnat des méchants indépendantistes
Chaque été en plein centre de l’île se tiennent les Journées internationales de Corte.
Depuis 1987, les Ghjurnate Internaziunale di Corti, dans la langue de François Modesto, réunissent des mouvements nationalistes issus du monde entier. On y croise ainsi entre autres des Basques hirsutes et des Corses au crâne rasé, buvant, chantant et conversant sur la domination coloniale de l’État français jacobin. Le concept pourrait ainsi être étendu au football. Cela pourrait donner un « plasticagico » entre Bastia et Bilbao, ou un « terroristico » entre le Derry City FC et KF Pristina.
Ou pas, vu que les clubs corses seraient alors débarrassés des assommantes formules des journalistes hexagonaux… Le Sahara Occidental, le Kurdistan, l’Abkhazie, le Haut-Karabagh et la Palestine seraient conviés. Seul hic, les pelouses...
- En championnat nord-irlandais de football gaélique
Dire qu’il existe des parallèles entre la Corse et l’Irlande du Nord est une évidence pour beaucoup.
Terres bordées de mers, cultures riches et marquées, passés tourmentés... Chacune des deux entités a par exemple connu un « Bloody Sunday » : le « Bogside Massacre » au nord, l’affaire d’Aleria plus au sud, évènements dont les conséquences ont été, entre autres, une radicalisation de l’IRA et du FLNC. D’ailleurs, n’existe-t-il pas ce chant corse, Surella d’Irlanda - sœur d’Irlande en français dans le texte – comme un symbole de ces liens sacrés ? Du coup, rapatrier le Sporting, l’ACA ou le Gaz’ dans le championnat local de football gaélique - le préféré des Républicains qui dénoncent l’occupation britannique - pourrait être un compromis parfait.
D’autant que les footeux insulaires auraient déjà de sérieux arguments à faire valoir dans cette discipline spectaculaire. Rothen pour les coups de pied arrêtés, Landreau et Ochoa pour les ballons aériens, Cavalli et Angoula pour sortir les marrons du feu. Sans oublier Modeste pour les drops entre les poteaux.
- En Primera Division de Nicaragua
La vie d’Alain Orsoni est un roman.
Avant de devenir président de l’ACA, le « bel Alain » a longtemps été une figure de proue du nationalisme corse, militant au sein du FLNC et de son Mouvement pour l’autodétermination. Admiré par certains, détesté par d’autres, il se voit contraint de fuir son île en 1996 et choisit le Nicaragua comme lieu d’exil. Orsoni conservant de bonnes relations dans les faubourgs de Managua, le Sporting et l’ACA pourraient suivre sa trace. Un championnat en manque de visibilité et d’enjeu, tant le Diriangén FC (26 titres) et le Real Estéli FC (12) dominent de la tête et des épaules cette ligue créée en 1933. Memo Ochoa se rapprocherait de sa famille, et Magno Novaes reprendrait des couleurs.
Toujours mieux que Téhéran où le dirigeant des Ours est tricard à vie, après avoir mitraillé l’ambassade iranienne de Paris en 1980…
Par Thomas Andrei et Arnaud Clément, avec le soutien d’Ali Farhat
Mais lors du derby Bastia – AC Ajaccio, une limite a été franchie. Une bagarre générale, cinq cartons rouges, des jets de pierre, des blessés. Une véritable intifada. La Ligue doit sévir, mais comment contenir ces enragés ?
Interrogé à ce sujet sur Yahoo Sports, Denis Balbir a trouvé la solution miracle : exclure les clubs corses du championnat de France. Seulement, un problème persiste : où délocaliser ces « tue l’amour » que sont le Sporting et l’ACA ?
- En Serie A
Rattacher les clubs corses aux compétitions italiennes, le Calcio en tête, serait la solution la plus logique.
D’abord de par la proximité géographique. Ajaccio n’est par exemple qu’à 430 bornes de Rome ou à 500 kilomètres de Cagliari.
Ensuite, la Corse est un peu comme la Savoie, à savoir un territoire que se sont disputé l’Hexagone et la Botte. Après l’administration par l’évêque de Pise, ce bout de terrain de presque 9 000 km² a ainsi appartenu à la République de Gênes de 1284 à 1735. Enfin, la langue locale est le fruit d’un savant mélange entre le latin et le toscan médiéval.
Alors envisager de rattacher la Corse du football à la Lega Pro, après tout... Et puis, les stades désuets de l’ACA et du Sporting - sans parler de Mezzavia – se fonderont parfaitement dans le décor, au milieu des baraques à frites que sont le stade Carlo-Castellano d’Empoli, Artemio-Franchi à Florence ou la Montepaschi Arena de Sienne.
Et puis bon, vous imaginez déjà ces ferries pleins à craquer pour un dép’ dans l’antre de la Samp’ ou du Genoa, fumis craqués par dizaines pour signaler l’arrivée des supporters au port. Autre chose que les voyages en train à rendre votre grand corps malade.
- En Premier League
Les liens entre la Corse et l’Angleterre ne datent pas du mariage de Darren Tulett.
En 1790, Pasquale Paoli, ancien chef de la nation corse indépendante, voit son exil en Grande-Bretagne prendre fin. Rallié à la République française naissante, il est nommé lieutenant-général et commandant de l’île. Mais les relations entre le « père de la Patrie » et la Convention se ternissent vite, et son arrestation est ordonnée. Paoli fait alors appel aux Britanniques qui boutent les Français hors de l’île et établissent avec les députés locaux un Royaume anglo-corse.
Si l’aventure ne tiendra que de 1794 à 1796, Pasquale Paoli sera inhumé à Westminster, et certains restent attachés à ce projet romanesque. Ainsi, rien ne s’oppose à ce que les clubs de l’île, réputés pour leur fighting spirit et leur excès d’engagement, rejoignent la Premier League. Yannick Cahuzac et Jean-Baptiste Pierazzi pourraient laisser parler leur science du tacle, et une partie du rêve de l’homme des Lumières se réaliserait enfin…
En contrepartie, la Ligue 1 récupérerait Arsenal et Newcastle, et tout le monde serait content.
- Dans un championnat des îles méditerranéennes
Les continentaux ne veulent plus de ces parasites insulaires ? Qu’importe, il y a tant d’espace à occuper ailleurs. Et quel espace !
« Homme libre, tu chériras la mer », disait Baudelaire. Bastiais, Ajacciens, Cortenais ou Bonifaciens le prennent au mot et projettent de lancer un nouveau championnat, mêlant les territoires de Mare Nostrum, cette bonne vieille Méditerranée que les Romains considéraient comme leur piscine. Un championnat international où on pourrait ainsi retrouver les Chypriotes de l’APOEL Nicosie, les Maltais du Valletta FC, les Grecs de l’OFI Crête, les Siciliens de Palerme, les Sardes de Cagliari, voire les Espagnols du Real Majorque et de Tenerife. Seul inconvénient, il faudra prévoir une date butoir pour ce championnat si l’on en croit Al Gore. Putain de montée des eaux...
- Dans un championnat des méchants indépendantistes
Chaque été en plein centre de l’île se tiennent les Journées internationales de Corte.
Depuis 1987, les Ghjurnate Internaziunale di Corti, dans la langue de François Modesto, réunissent des mouvements nationalistes issus du monde entier. On y croise ainsi entre autres des Basques hirsutes et des Corses au crâne rasé, buvant, chantant et conversant sur la domination coloniale de l’État français jacobin. Le concept pourrait ainsi être étendu au football. Cela pourrait donner un « plasticagico » entre Bastia et Bilbao, ou un « terroristico » entre le Derry City FC et KF Pristina.
Ou pas, vu que les clubs corses seraient alors débarrassés des assommantes formules des journalistes hexagonaux… Le Sahara Occidental, le Kurdistan, l’Abkhazie, le Haut-Karabagh et la Palestine seraient conviés. Seul hic, les pelouses...
- En championnat nord-irlandais de football gaélique
Dire qu’il existe des parallèles entre la Corse et l’Irlande du Nord est une évidence pour beaucoup.
Terres bordées de mers, cultures riches et marquées, passés tourmentés... Chacune des deux entités a par exemple connu un « Bloody Sunday » : le « Bogside Massacre » au nord, l’affaire d’Aleria plus au sud, évènements dont les conséquences ont été, entre autres, une radicalisation de l’IRA et du FLNC. D’ailleurs, n’existe-t-il pas ce chant corse, Surella d’Irlanda - sœur d’Irlande en français dans le texte – comme un symbole de ces liens sacrés ? Du coup, rapatrier le Sporting, l’ACA ou le Gaz’ dans le championnat local de football gaélique - le préféré des Républicains qui dénoncent l’occupation britannique - pourrait être un compromis parfait.
D’autant que les footeux insulaires auraient déjà de sérieux arguments à faire valoir dans cette discipline spectaculaire. Rothen pour les coups de pied arrêtés, Landreau et Ochoa pour les ballons aériens, Cavalli et Angoula pour sortir les marrons du feu. Sans oublier Modeste pour les drops entre les poteaux.
- En Primera Division de Nicaragua
La vie d’Alain Orsoni est un roman.
Avant de devenir président de l’ACA, le « bel Alain » a longtemps été une figure de proue du nationalisme corse, militant au sein du FLNC et de son Mouvement pour l’autodétermination. Admiré par certains, détesté par d’autres, il se voit contraint de fuir son île en 1996 et choisit le Nicaragua comme lieu d’exil. Orsoni conservant de bonnes relations dans les faubourgs de Managua, le Sporting et l’ACA pourraient suivre sa trace. Un championnat en manque de visibilité et d’enjeu, tant le Diriangén FC (26 titres) et le Real Estéli FC (12) dominent de la tête et des épaules cette ligue créée en 1933. Memo Ochoa se rapprocherait de sa famille, et Magno Novaes reprendrait des couleurs.
Toujours mieux que Téhéran où le dirigeant des Ours est tricard à vie, après avoir mitraillé l’ambassade iranienne de Paris en 1980…
Par Thomas Andrei et Arnaud Clément, avec le soutien d’Ali Farhat
figoress a dit:
"les bastiais sont des sous-merdes"
figoress a également dit:
"Le parc des princes devrait être rebaptisé le parc des salopes, c'est le seul mot qui se dégage de la bouche des "supporters".
figoress,toujours:
" Le problème c'est que tous les ans, seuls 5 équipes finissent bien leur saison !!"
"les bastiais sont des sous-merdes"
figoress a également dit:
"Le parc des princes devrait être rebaptisé le parc des salopes, c'est le seul mot qui se dégage de la bouche des "supporters".
figoress,toujours:
" Le problème c'est que tous les ans, seuls 5 équipes finissent bien leur saison !!"
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