Le club compte plusieurs groupes de supporters au statut plus ou moins officiel. Le plus important est celui des « Bad Gones » créé en 1987, et qui occupe le virage nord inférieur du stade de Gerland. L'Olympique lyonnais était alors un modeste club de D2. En 2007, contre le RC Strasbourg, ce groupe a fêté ses 20 ans d'existence. Un autre groupe important a existé, il s'agit de la « Cosa Nostra Lyon » au virage sud inférieur. Il a vu le jour en 2007 et est issu du regroupement de deux groupes qu'étaient les « Lugdunum's », créés en 1993, et les « Nucléo Ultra », créés en 2000, qui occupaient déjà le virage sud. Afin de donner plus d'homogénéité à la tribune les deux groupes ont fusionné 163. Mais la répétition des interpellations pour divers actes de vandalisme et de violence a contraint l'Olympique lyonnais à ne plus reconnaître officiellement le groupe puis à l'État de le dissoudre officiellement par décret en 2010. En 2009 est apparue un nouveau groupe actif au virage sud appelé Lyon 1950 ce groupe est apolitique et condamne fermement toute forme de discrimination.
En 2010, le groupe organise campagne d'abonnement et compte à peu près cent-soixante membres.
Il existe également d'autres associations dont la localisation dans le stade est bien définie162. Il s'agit des « Rouge et Bleu » de la tribune Jean Bouin, des « Hex@gones » créés en 2000, présents surtout en virage sud inférieur, qui regroupe, mais pas exclusivement, les supporters résidant loin de Lyon, des « Gastrogones » de la tribune Jean Bouin et au virage sud supérieur, des « O'Elles Club » de la tribune Jean Jaurès et des « Handi-Sup-OL », créés en 2005, placés aux places handicapées de la tribune Jean Bouin. Six autres groupes sont répartis de part et d'autre du stade. Il s'agit des « OL Muséum », créés en 2006, association de supporters collectionnant des produits estampillés OL, des « Gones 58 », créés en 2006, qui regroupent les supporters du département de la Nièvre, des « Gones 26 », créés en 2007, qui regroupent les supporters du département de la Drôme, des « Septimagones », créés en 2008, implantés à Hérépian dans l'Hérault, dont le nom vient de la contraction de Gones et de Septimanie, une ancienne province désignant le Languedoc-Roussillon, des « Loups Marchois », créé en 2008, qui regroupent les supporters du département de la Creuse, et des « Dauphigones », créés en 2008, qui regroupent les supporters du département de l'Isère.
L'affluence des spectateurs au stade de Gerland a connu une forte augmentation dans les années 2000. Alors que la moyenne de fréquentation était d'environ dix-mille spectateurs jusqu'à la fin des années 1980, elle est d'un peu moins de quarante-mille dans les années 2000, soit l'équivalent de la capacité du stade de Gerland.
Source : wikipedia
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